Cette première réunion a confirmé les craintes de la CFDT.
Si repreneur il y a, et il semble bien qu'aux dires de la direction, ça ne se bouscule pas au portillon, les actionnaires mettront tout en oeuvre pour qu'il puisse racheter leurs parts quitte a ce que cela soit un Benq bis.
Grand retour en arrière, 7 mois de discussion pour rien, sauf affirmer qu'il n'y a toujours pas de repreneurs dans l'immédiat ni même sur le court terme.
La CFDT, assumant ses responsabilités et ses engagements pris le 23/11 et le 1/12 vis-à-vis du personnel refuse de participer à une mascarade mettant en grand danger l'avenir d'Altis et de ses salariés.
Déclaration faite lors de cette réunion :
Au vu de la présentation faite par Mr Beisson qui n'apporte aucune garantie et qui ne tient en aucun cas compte de notre déclaration du 1er décembre 2006, la CFDT décide de quitter la table des négociations jusqu'à ce que la direction prenne enfin en compte nos revendications sur l'arrivée d'un éventuel repreneur et ne se contentera pas seulement de « mots d'intentions ».
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