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Le fabricant allemand de mémoires informatiques Qimonda, en dépôt de bilan, a annoncé mardi une réduction drastique de sa production et doit trouver un repreneur avant fin mars pour éviter d'être liquidé, selon un communiqué. Qimonda va réduire de 75% sa production de tranches à l'usine de Dresde, son principal site en Allemagne, a-t-il annoncé. Le but est de "s'adapter aux conditions de marchés comme à la nécessité de réduire les activités déficitaires et de dégager des liquidités", a indiqué la société.
Qimonda doit "trouver une solution avec un investisseur d'ici fin mars" sous peine d'être liquidé, selon un communiqué.
Le fabricant allemand de mémoires informatiques Qimonda, en dépôt de bilan, a annoncé mardi une réduction drastique de sa production et doit trouver un repreneur avant fin mars pour éviter d'être liquidé, selon un communiqué. Qimonda va réduire de 75% sa production de tranches à l'usine de Dresde, son principal site en Allemagne, a-t-il annoncé. Le but est de "s'adapter aux conditions de marchés comme à la nécessité de réduire les activités déficitaires et de dégager des liquidités", a indiqué la société.
Qimonda doit "trouver une solution avec un investisseur d'ici fin mars" sous peine d'être liquidé, selon un communiqué.
Des discussions avec de potentiels repreneurs ont été menées ces derniers jours "mais il est trop tôt pour en évaluer l'importance", selon le fabricant de mémoires, filiale du groupe Infineon.
L'entreprise a déposé le bilan le 23 janvier, une tentative de sauvetage conjointe de l'Etat de Saxe, du Portugal, où l'entreprise a un site important, et d'Infineon n'ayant mené à rien. Qimonda enregistre depuis plusieurs trimestres des pertes se chiffrant en milliards d'euros, la faute aux prix en chute libre des mémoires informatiques.
E24 avec AFP
L'entreprise a déposé le bilan le 23 janvier, une tentative de sauvetage conjointe de l'Etat de Saxe, du Portugal, où l'entreprise a un site important, et d'Infineon n'ayant mené à rien. Qimonda enregistre depuis plusieurs trimestres des pertes se chiffrant en milliards d'euros, la faute aux prix en chute libre des mémoires informatiques.
E24 avec AFP
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